Les propriétés antalgiques et anti-inflammatoires naturelles des champs magnétiques statiques suscitent un intérêt croissant bien au-delà des adeptes des médecines complémentaires qui les connaissent déjà bien. Les sportifs, la médecine allopathique et les centres anti-douleurs y voient aujourd’hui un réel intérêt thérapeutique dépourvu d’effets secondaires. Le milieu médical les redécouvre, comme en témoignent ce cardiologue de Saint-Etienne et ce kinésithérapeute de l’équipe cycliste FDJ.
« Je suis cardiologue et donc mes compétences en magnétothérapie sont limitées. Néanmoins je cherche toujours à aider et soulager mes patients et j’ai pu expérimenter à titre personnel les aimants pour des tendinites (tennis elbow) et lombo dorsalgies et cervicalgies (douleurs en général), il est certain que l’on diminue voire on soulage ces douleurs chroniques en diminuant la part des anti inflammatoires gastro toxiques de mes patients âgés et donc fragiles et tous les moyens (simples) sont bons pour essayer d’y parvenir. »
« J’ai eu un cancer il y a 6 ans pour la 3ème fois suite à ça j’ai perdu un rein et je suis donc dialysé depuis. J’ai alors commencé à boire l’eau magnétisée conseillé par mon cancérologue. Je suis passé d’une dialyse par semaine à une dialyse tous les deux mois. J’ai ensuite entamé une formation en Belgique plus précisément à Liège sur la magnétothérapie. J’utilise les produits sur les troubles du sommeil, les tendinites, les coliques nephretiques, la sclérose en plaque, la spondylarthrite ankylosante, la polyarthrite déformante, le stress, les migraines, et la récupération physique et nous avons constaté une nette amélioration sur la douleur. La totalité de mes patients ont constaté soit l’atténuation de leur douleur ou bien une récupération totale. »
Ces témoignages qui émanent de professionnels de santé d’aujourd’hui rejoignent ceux du début du XXéme siècle qui pourtant ne disposaient pas de l’extraordinaire puissance et donc de l’efficacité des aimants néodymes qui ne datent « que » des années 90. N’oublions pas que le célèbre Laennec traitait déjà la « névralgie pulmonaire » avec des aimants, que Charcot étudiait leurs effets « anesthésiants » et que les Russes utilisaient leurs pouvoirs antalgiques et anesthésiants sur les douleurs du membre fantôme au cours de la deuxième guerre mondiale.
Le tout chimie ayant relégué les aimants thérapeutiques aux oubliettes, il faudra quelques décennies et plusieurs scandales sanitaires pour qu’ils redeviennent ce qu’ils ont toujours été : un formidable remède naturel.